« A l’origine, le thym était en effet essentiellement utilisé en Provence. De manière ancestrale, le thym y était largement consommé pour ses qualités aromatiques mais aussi, par expérience, pour ses propriétés bactéricides qui permettaient de conserver un état sanitaire correct aux viandes », explique l’Inao.
Si le projet aboutit, la dénomination « thym de Provence » sera alors réservée au thym cultivé dans le département du Vaucluse, ainsi qu’une partie du Var, des Bouches-du-Rhône, des Alpes-de-Haute-Provence, des Hautes-Alpes, de la Drome, de l’Ardèche et du Gard (CF carte).
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